mardi 13 janvier 2015

Jour 28 : Navarrenx- Aroué-Ithorots-Olhaïby



Jour 28 : Lundi 27 Octobre 2014
Navarrenx (Pyrénées Atlantiques) – Aroue –Ithorots-Olhaïby (64) - Distance à parcourir 18,7 km
Réveil 6h30(cht d'heure) – Petit dej 7h00 - Départ 7h45    Temps clair
Il fait jour grâce au changement d'heure, mais la ville est morte (c'est lundi!), c'est comme Ste Foy la Grande. Le marchand de journaux me vend une carte postale. Visite des remparts, c'est une "bastide bastionnée", d'anciens canons décorent une place; une ancienne porte. Ici, la boulangerie n'ouvre que le matin
 

















et la Caisse d'épargne Écureuil, dont le bâtiment date d'une splendeur passée, ne reçoit professionnels et particuliers que "sur rendez-vous" !


 








L'Arsenal et les canons béarnais


 

















On sort de la ville par la porte Saint Antoine, 







puis on traverse le gave d'Oloron










Je passe le "Gave d'Oloron"; il est de bonne taille.






Promenade ensoleillée sur les contreforts de Pyrénées. Toujours du maïs et des élevages de bovins. Les cloches des églises évoluent : clocher bourguignon au premier village, 



puis clochers pointus.



Des forêts aussi dans lesquelles des chasseurs font beaucoup usage de leurs fusils. Je me signale de temps en temps en criant "je suis là". Christine n'apprécie pas non plus.
Deux habitations qui me font rêver:















Entrée officielle en "Pays Basque" juste avant Aroué. 










 



Le paysage est très joli, et je le dit à un paysan qui fait la pause de midi près de son tracteur; réponse "On est en Pays Basque". Bon, j'ai compris ici, la région a une forte personnalité. Je guette la "ferme Bototéguia"; il faut s'habituer à ces noms imprononçables. Ce gite vient d'être rénové par la famille des propriétaires du terrain et l'une des filles est gérante. Il est aux dernières normes, spacieux. Comme il est entouré de prairies, on peut mettre son linge au soleil sur des séchoirs à linge. Je fais une bonne lessive et une pause lecture de vieux "Sud Ouest".













Dans les chambres, tables de nuit inspirées des bornes kilométriques.




José, Marie-Pauline et Thierry sont passés hier et la jeune femme m'explique qu'en dinant, ils s'inquiétaient d'un certain "Alain", laissé en arrière. C'est gentil ! Du coup, je téléphone à Ostabat, où ils ont réservé pour leur faire dire que je ne suis qu'à un jour derrière eux.
13 personnes au diner: on retrouve les 2 familles "Airbus" et "Perpignan". Ces derniers arrivent de Sauvelade(12 km avant Navarrenx; ils ont donc parcouru 30 km); je n'en reviens pas de voir ce petit de 6 ans parcourir tout ce chemin. Il y a aussi 2 anglais et puis Christine, la "road runneuse" américaine. Michael s'est arrêté à Lichos.

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