dimanche 3 janvier 2016

Jour 18 : Terradillo de los Templarios - El Burgo Ranero



Jour 18: Vendredi 16 Octobre 2015
Terradillos de los Templarios – Sahagün – El Burgo Ranero     Distance à parcourir  32  km
 

Réveil à 4h50 par un réveil de téléphone; la coréenne se lève à 5h, puis un autre à 5h10. Puis ils sont revenus prendre leurs sacs à 5h20 et une gourde est tombée brutalement sur le sol. À bout, je me suis levé et leur ai dit "Get away, I want to sleep !". À 7h00, petit déjeuner au gite pour 3€, un seul "toast", c'est toujours insuffisant pour des marcheurs, j'ai complété avec mon pain sorti du sac. Départ à 7h50. En route, découverte de réserves cachées dans des collines; certains jouent aux nains et se font photographier devant, cela donne l'échelle.

 
















 



 







Arrêt à une panaderia de Sahagün
 















 






                                                               

Sortie de Sahagün                                                                             Un allemand mort en Chemin



Arrivée à 14h20 à l'Albergue Municipal de El Burgo Ranero. Elle est tenue par des hospitaliers italiens et est en donativo. Le gite est neuf et construit en torchis, comme beaucoup de maisons ici.
Un petit supermercado ouvre à 17h, tout va bien.



Parfois, le torchis (el barro) est protégé par un petit parement de briquettes.
Là, pignons en briques et murs en torchis

 



 








 

Au gite, petit chien perdu, on s'en occupe





 





 









"A la memoria de los ninõs", que s'est-il passé en 2002 ? Se sont-ils noyés dans le marécage ?








 



À noter que depuis quelques temps, les maisons modernes ont deux fenêtres (comme on le fait en montagne) et un volet roulant circule entre les 2 fenêtres. Les coréens ont logé dans l'autre gite, en face; bon débarras. Nous nous sommes interrogés sur leur comportement pour essayer de les excuser un peu : d'abord leur petit déjeuner dure longtemps et ils préparent peut être des boulettes de riz pour la journée; ensuite, ils font souvent des pauses et nous pensons que certains marchent lentement, ce qui fait qu'ils partent tôt. De toute façon, je ne les verrai plus, car en accélérant pour aller à León, je les ai semés. Désolé de dire bon débarras! Soirée tranquille, l'équipe des jeunes fête un anniversaire et je sers de photographe, les hospitaliers allument le poêle à bois.









Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire