jeudi 22 novembre 2018

Via Tolosona étape 16 : Murat sur Vèbre - Salvetat sur Agout


Étape 16 : Dimanche30 Septembre 2018  Murat sur Vèbre(12) - Salvetat sur Agout(34)            21,4 km

Temps gris, qui se lèvera en chemin   Réveil 6h30     Départ 7h45

 


 
Nous sommes soucieux pour l’hébergement, car pas moyen de réserver. Le gite va appeler l’office du tourisme qui serait ouvert le dimanche matin d’après le miam miam dodo, mais je n’y crois pas. Si nous avons un peu de chance, le gite sera ouvert, cela arrive sur le Chemin du Puy…… ??????

Coté grimpettes, c’est fini !!


Petit passage à gué. On m’a dit que dans le passé quelqu’un a balisé ainsi le Chemin d’Arles ; j’en verrai d’autres.








Chemin agréable dans les bois, habitat dispersé, agriculture.









La Vèbre poursuit son chemin en contrebas.














Nombreuses croix de chemin :



 










Un hameau












 




Bon, on n’y est pas !!






 






 




Beau chêne en effet !







Montées et descentes raisonnables. On suit la rivière Vèbre, qui va traverser le lac du Laouzas, qui manque d’eau. 
 


Comment va t’on pécher alors ? A la mouche ?



 













Le pont de Robert.    Merci Robert !



 Le lac








 



Villelongue en vue











 

Pont fragile, pour les piétons, ça ira







 





Enfin quelques fleurs. Entre autres, des colchiques. Keiko pense au safran, c’est vrai que cela y ressemble, mais la colchique est mortelle pour l’homme dès 40 mg dit internet!!

 




















Arrivée à Villelongue au Sud du lac de Laouzas et son église Notre Dame










Petit village de montagne





 



 Ne pas sortir du Chemin !! Question : un collet est-il dangereux pour moi ?



 Une jasse serait un endroit de pâturage d’été.


 












Puis belle montée suivie d’une descente sur Salvetat sur Agout.





Avec le recul, nous aurions dû nous arrêter là, il y avait deux gites privés, donc ouverts le dimanche.
Mais nous croyions en notre bonne étoile, ce fut une erreur.


 

















Au bord du chemin, 16 ans, c’est bien jeune pour mourir.

 




















Un menhir au bord du Chemin ! Il y en a pas mal dans la région.










 C’est quand on se croit arrivés que les ennuis commencent . Le gite est verrouillé et personne ne sait qui a la clé.

 




 

 Je reconnais les efforts vains de certains habitants. Même la trésorière de la paroisse catholique. En plus, l’hôtel est complet.




Dubo
Dubon
Dubonnet



 

 Mais il y a de la place à l’hôtel de la plage à 2 km au bord du lac suivant, le lac de la Raviège. Nous ne faisons pas les difficiles. Et c’est reparti après un trop petit coup d’œil à la ville.
 

 
Nous avons raté le Vierge noire miraculeuse (N D d’Entraygues), qui est dans la chapelle de Saint Étienne de Cavall où les ecclésiastiques accueillaient les déshérités.




 Nous quittons la ville en traversant l’Agout, qui n’est pas gros, mais qui va recevoir la Vèbre à l’entrée du lac.
 
 
















L’hôtel du Lac : 48€ la chambre à 1 personne, 72€ pour la chambre à 2. Très propre et bien placé au bord du lac.
Exceptionnellement, le restaurant est fermé ce soir. En fait cela nous arrange, on nous propose de manger tôt sur une table et avec le stock, nous avons de quoi diner. Les lentilles resteront dans mon sac. 

 












Côté positif, c’est l’occasion de voir de près le lac, et en plus nous sommes passés devant l’usine d’embouteillage de l’eau gazeuse SALVETAT. Elle n’est pas gazeuse d’origine.









Surprise ! Sur une carte de l’hôtel, je découvre que nous sommes à nouveau dans l’Hérault.




























































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