Via Tolosona étape 23 : Avignonet-Lauragais - Ayguevives

Étape 23 : Dimanche 7 Octobre 2018  Avignonet–Lauragais(31) – Ayguevives(31)                   18,3 km(en longeant le canal)

Réveil 6h45 ;   Petit dej 7h30  départ  8h00

Maintenant, c’est cap au Nord-Ouest jusqu’à Toulouse.

Pas de ravitaillement possible dans la journée, mais le Carrefour-Market d’Ayguevives serait ouvert le dimanche en fin d’après-midi. C’est rare, mais c’est bien pratique.

Du gite, nous redescendons vers le Canal.

Tiens, encore une vieille Lada Niva.      







                                    



 Le Paradis par là, est-ce bien sûr ?

Nous passons le pont et il n’y a plus qu’à le suivre. Chaque arbre est numéroté.


 

Certains ont écrit que c’est monotone, mais le canal serpente au milieu d’une végétation variée, et c’est ponctué d’écluses. Et puis il y a quelques bateaux qui parfois font la queue aux écluses.

 

 

 

Quand l’écluse est pleine d’eau, on ouvre la porte (c’est automatique) et le bateau continue sa route

Ce matin, le temps est changeant ; on annonce de la pluie, mais en fait il n’y aura qu’un peu de bruine.

 

Certains font même de l’aviron.

Chemin facile à 4 km/h, 2 pauses à 10h et 12h15.

 

Nous sommes dépassés par 2 allemands, qui nous souhaitent le bonjour de la part de leurs consœurs rencontrées précédemment, qui ont pris un car pour Toulouse. Deux canadiens nous dépassent, nous les retrouveront au gite, qui sera bien plein. C’est rare, mais en faisant une étape double, nous avons rattrapé 4 personnes dont nous ignorions l’existence devant nous et cela a créé une surcharge imprévisible.

Un pont canal au-dessus d’un cours d’eau

 

 

 

Un point de mise à l’eau           

                                

Tout autour, des champs et un habitat dispersé

 

Petite agglomération (Gardouch), qui attire quelques bateaux.

 

 











 

Juste en aval de l’écluse de Gardouch, un pont en pierre du pays : la brique !

 

 

En 1944, les américains ont débarqué en Provence, mais leurs caisses de munitions étaient contaminées, d’où un désastre écologique pour les platanes du midi.

 

 

En l'absence de bateaux, les canards col-vert sont heureux.

 

Sur les bas-côtés, agriculture intensive.

 

Chenille processionnaire isolée

En employé d’Airbus a récupéré un bout de cockpit ?

 

Pause n°2 à l’écluse de Negra.

 

A cette écluse, une chapelle est accolée à la maison de l’éclusier.

 Et c’est reparti pour 3,7 km d’après la plaque de l’écluse.

 

C’est là qu’il faut quitter le canal nous a-t-on dit

 

D’ailleurs, le chemin menant au gite est bien balisé.

 

 

On monte un peu et on arrive au gite.

 Arrivée à Ayguevives, dont j’avais imprimé le plan avant de partir, à 14h15. Normalement, le gite de l’Association Compostelle en Occitanie n’ouvre qu’à 15h, mais comme le temps est maussade, c’est déjà ouvert.

 En effet le supermarché ouvre en fin d’après-midi ; bon ravitaillement en légumes frais

 

 

 

Pour l’hébergement de demain soir, Omar réserve un Hôtel Ibis à 80€ la nuit pour 2 Nuits.

Je vais essayer de faire mieux, mais aucune des adresses que j’ai n’accepte ou ne répond. Heureusement, les accueillantes me conseillent d’appeler M Riquet 92 Avenue de Rieux 06  64 44 64 03

Il possède la petite auberge de St Sernin qui est complète, mais il accueille aussi chez lui. Et il accepte. Nous voilà bien soulagés. En plus, avec mon plan de Toulouse, je comprends comment aller chez lui.