mardi 25 juillet 2023

Via Turonensis étape 38 : Le Bouscat - Gradignan Partie 1

 Étape 38 : Lundi 10 Octobre 2022 : Le Bouscat(33) - Gradignan(33) : 17,3 km

Beau temps,           Lever 7h15;            départ 8h10            Arrivée: 16h00 


 

Temps gris, petites averses.

Maintenant, on marche dans des rues, mais le balisage est bon et le topo " visite Jacquaire " précis. Grand merci à Compostelle Aquitaine.

On arrive rapidement à Bordeaux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Balisage par poteau puis coquilles sur les trottoirs.

 

Anciennes maisons bordelaises.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans les rues il faut être sur ses gardes car il faut surveiller les voitures, les tramways, les vélos et les autres piétons.

 

Noter que le tramway abaisse son pantographe en ville et est alimenté par un rail centré entre les deux rails de roulement. Ce rail n'est sous tension que lors du passage du tramway. Technique Alstom !

 

 

 

Témoin d'un amphithéâtre construit au IIIième siècle sous l'empereur Gallien, qui pouvait contenir 1500 spectateurs.

 











 

 

 

 

 

 

 

Puis on arrive à la basilique Saint Seurin.

A droite de la façade, un espace qui était peut être un cimetière, car un sarcophage y est installé.

 








 

 

La porte en façade est fermée, mais il y avait peut-être une entrée latérale ouverte vers la pelouse côté sud. Frustré, j'y suis revenu plus tard. C'était ouvert.

 

 

 

 




 Si on prend le temps de lire, il est écrit que le sarcophage de Saint Seurin est sous l'autel. J'ai fini par l'y trouver.

 

J

 

 

Tout à droite, la religion juive qui n'a pas compris le Message, comme à la cathédrale Notre Dame de Paris.

 

 


Juste à gauche de la porte, Saint Pierre et sa clé.

 

Il n'est pas exclu que les 4 évangélistes encadrent la porte, 2 de chaque côté.

  Tout à droite, la religion juive qui n'a pas compris le Message, comme à la cathédrale Notre Dame de Paris.

 

 

La nef et le chœur; à gauche, Sainte Seurin.

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

Son sarcophage est sous l'autel, derrière la grille.

Il y a d'autres sarcophages dans la crypte.

 

 

 

 

 

 

 

 

 



La crypte:

 

 



 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sarcophage supposé de Sainte Véronique   

 

Étrange gisant incliné

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 


Le baptême du Christ Par St Jean Baptiste                                                       La Cène ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


St Jean Baptiste rencontre le roi Hérode                                              St J.B  va être décapité  en prison?


Point d'accueil pèlerin

 


Et en sortant, la nécropole paléochrétienne est close.


Puis on passe sous la porte Dijeaux.







Puis rue des capérans, qui jouxte l'église Saint Rémi.






Et on atteint les quais de la Garonne. Que l'on quitte par la porte Cailhau par laquelle les pèlerins pénétraient dans la ville après avoir débarqué.

 

 

 

 

 



 

 

 

 

Porte élevée au XVième siècle à la gloire de Charles VIIII. C'était à la fois un arc de triomphe une porte de défense. Elle est décorée côté Garonne d'une statue du roi victorieux lors de la conquête du royaume de Naples. Elle possède un petit étage destiné au logement d'une petite garnison et d'un autre en forme de galerie pour la petite artillerie. Plus haut, il y a des mâchicoulis.

 

 

 

 

 

 

 

 





 

On passe sous cette porte et on tourne à droite pour trouver  la petite rue de la Coquille, qui donne un aperçu des rues médiévales appelées jadis "andronnes".

 

 

 

 

 

 

 

 

 "Depuis le Moyen Age, la Coquille symbolise le pèlerinage à Saint Jacques de Compostelle. Au XIIième siècle, remise au pèlerin à son arrivée en Galice, elle atteste de la bonne exécution du pèlerinage. De nos jours, elle est portée par "les marcheurs de Dieu", elle est dès le départ un signe de reconnaissance des pèlerins entre eux".

Ensuite, on suit la rue des argentiers jusqu'à l'église Saint Pierre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au fond du chœur, le vitrail central est consacré à la Vierge.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

Et ailleurs:

 

le péché originel                                             

 

  Adoration de la Vierge, du Christ avec Dieu en haut

 

 

 

Puis on va à la cathédrale Saint André. Pas de chance, c'est lundi matin 10h et je ne peux pas attendre 14h.

 


Le clocher de la cathédrale est séparé du bâtiment. Il est nommé Tour Pey-Beyland, nom d'un archevêque, qui la fit ériger en 1440. Elle a été construite à distance de la cathédrale pour ne pas menacer sa structure.

 

 

 

 

 

 

 

 

Je repars par la rue St James (Saint Jacques en Gascon) puis je passe sous la grosse cloche.

 

 

La Grosse cloche de Bordeaux est le surnom donné à un édifice qui servait de porte du rempart médiéval et de beffroi de l'ancien hôtel de ville. Elle est aussi appelée porte Saint-Éloi ou Porte Saint-James.

Après quelques rues, on arrive à la Basilique Saint Michel. Là encore, il y a un campanile, car le clocher est séparé de l'église.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 










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