Jour 28 : Lundi 27 Octobre 2014
Navarrenx (Pyrénées Atlantiques) – Aroue –Ithorots-Olhaïby (64) - Distance à parcourir 18,7 km
Réveil
6h30(cht d'heure) – Petit dej 7h00 - Départ 7h45 Temps clair
Il fait jour grâce au
changement d'heure, mais la ville est morte (c'est lundi!), c'est comme Ste Foy
la Grande. Le marchand de journaux me vend une carte postale. Visite des
remparts, c'est une "bastide bastionnée", d'anciens canons décorent une
place; une ancienne porte. Ici, la boulangerie n'ouvre que le matin
et la
Caisse d'épargne Écureuil, dont le bâtiment date d'une splendeur passée, ne
reçoit professionnels et particuliers que "sur rendez-vous" !
L'Arsenal et les canons béarnais
Je passe le "Gave d'Oloron"; il est de bonne
taille.
Promenade ensoleillée sur les contreforts de Pyrénées. Toujours du maïs et des élevages de bovins. Les cloches des églises évoluent : clocher bourguignon au premier village,
Des forêts aussi dans lesquelles des chasseurs font beaucoup
usage de leurs fusils. Je me signale de temps en temps en criant "je suis
là". Christine n'apprécie pas non plus.
Entrée officielle en "Pays Basque" juste avant
Aroué.
Le paysage est très joli, et je le dit à un paysan qui fait la pause de midi près de son tracteur; réponse "On est en Pays Basque". Bon, j'ai compris ici, la région a une forte personnalité. Je guette la "ferme Bototéguia"; il faut s'habituer à ces noms imprononçables. Ce gite vient d'être rénové par la famille des propriétaires du terrain et l'une des filles est gérante. Il est aux dernières normes, spacieux. Comme il est entouré de prairies, on peut mettre son linge au soleil sur des séchoirs à linge. Je fais une bonne lessive et une pause lecture de vieux "Sud Ouest".
Le paysage est très joli, et je le dit à un paysan qui fait la pause de midi près de son tracteur; réponse "On est en Pays Basque". Bon, j'ai compris ici, la région a une forte personnalité. Je guette la "ferme Bototéguia"; il faut s'habituer à ces noms imprononçables. Ce gite vient d'être rénové par la famille des propriétaires du terrain et l'une des filles est gérante. Il est aux dernières normes, spacieux. Comme il est entouré de prairies, on peut mettre son linge au soleil sur des séchoirs à linge. Je fais une bonne lessive et une pause lecture de vieux "Sud Ouest".
José, Marie-Pauline et Thierry sont passés hier et la jeune
femme m'explique qu'en dinant, ils s'inquiétaient d'un certain
"Alain", laissé en arrière. C'est gentil ! Du coup, je téléphone à
Ostabat, où ils ont réservé pour leur faire dire que je ne suis qu'à un jour
derrière eux.
13 personnes au diner: on retrouve les 2 familles
"Airbus" et "Perpignan". Ces derniers arrivent de
Sauvelade(12 km avant Navarrenx; ils ont donc parcouru 30 km); je n'en reviens
pas de voir ce petit de 6 ans parcourir tout ce chemin. Il y a aussi 2 anglais
et puis Christine, la "road runneuse" américaine. Michael s'est
arrêté à Lichos.
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