Étape
7 : Dimanche 1er Octobre 2017
Saint Guilhem le Désert – St Jean de la Blaquière 24 km
Beau
temps Réveil 6h00 Lever 6h50 Petit
dej 7h00 Départ 8h20
Là, on commence à
frôler le sud du plateau du Larzac, d'où des dénivelés intéressants et ce n'est
qu'un début.
En descendant
déjeuner, je trouve Emmanuel en train de fignoler ses sandwich au jambon sec;
il lui en faut un toutes les 2h30pour maintenir sa glycémie. Il me donne un
reste de jus d'ananas et un yaourt Activia. Il m'explique alors qu'un membre de
sa famille a mis au point ces yaourts et a ensuite vendu l'usine à Danone. A
7h30, il est parti. Manquant de pain, je mange de gros biscuits secs dans du
thé. Départ à 8h20. Au bout de la "rue du Bout du Monde", encore des
chasseurs et des chiens. Ascension régulière, qui rend les 400 m de dénivelés
gérables.
Le
vallon de Gerone en bas.
Bonne
descente sur le petit village de "Le Barry"; un peu avant le village,
on traverse un village et un château (le castellas") abandonnés.
L'entrée du château
Et les
murs des anciennes maisons.
La forêt a repris
le terrain !
Le puits
communal
du Barry date du XVième siècle
L'église
est ouverte, parce qu'il y a un concert de musique contemporaine à l'intérieur.
"Lorsque la
musique fait swinguer les neurones".
Je
déjeune au son de cette musique bizarre, mais pas désagréable.
Arboras,
c'est un détour, qui m'a semblé inutile et qui fatigue inutilement car il faut
y monter à ce village, puis en redescendre en râlant, ce qui casse le moral.
Et c'est parti
pour la seconde grimpette; elle se fait doucement par une route empierrée.
Là, on n'est pas
loin du col.
La
descente vers St Jean de la Blaquière est raide; à éviter les jours de pluie.
Merci à ceux qui
ont créé ces marches.
Saint
Jean de la Blaquière en vue.
Saint.
Jean de la Blaquière : ses vins, son église au clocher bizarre.
J'arrive
le premier au gite, qui est contre l'église. Un grand marcheur suivra, puis à 19h30,
à la nuit tombante, Corinne et Cathy (nous étions inquiets).
Le gite
est simple et propre. Je n'ai pas entendu les cloches pendant la nuit, mais
ont-elles sonné ?
Murs
épais, village aux rues étroites, pour avoir du réseau, j'ai dû aller en
périphérie.
La
bénévole, habitante du village, qui tient le gite, nous apporte une baguette
fraiche. Elle nous raconte que l'étape est dure et que certains arrivent très
tard ou demandent un taxi à Arboras.
Je vais
me coucher en laissant mes guides à Corinne, elle veut étudier la suite.
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